Galería etnográfica de los BamanaDownload: small | large Details of No. 212.7: No. 212.7/1 imageNo. 212.7/2 image Publication: 1910. Henry, Jos. L’âme d’un peuple africain: Les Bambara. Leur vie psychique, éthique, sociale, religieuse.Original language: FrenchCaption translation: The sacred dance in honor of the Tji Wara fetish, or spirit of labor.Caption: La danse sacrée, en l’honneur du fétiche Tji Wara ou génie du travail.Text translation: « The Tji wara rarely demonstrates his power. If he kills his owner or the one who, during the sacred dance, separates in passing the male from the female, one rarely hears the black man attribute to him the death of one of his people. This fetish is made up or two crooked sticks, one male, one female, on which sacrifices are performed and one can see it hung in the entry-hall of his master, with the cailcedra-bark coat and the mask used in the sacred dance. The Tji wara’s mask is tastefully made, indeed it is the finest example of Bambara sculpture I have seen. It is carved in dondol wood (Bombax Cornui) and seems to represent a goat or a deer. The male often has curved horns and is sometimes as much as a meter tall. The female is smaller, its horns are straight, rings hang from its neck and ears and, no doubt because a goddess could never be sterile, it bears a baby on its back. During the sacred dance, the blacks wearing the mask and coat are bent double and always in motion. From time to time they blow into a bull’s horn, and as they cannot stand up straight without offending the idol, they lie on the ground or fall on all fours when they are weary and tired”. (p.144)Text: « Le Tji wara témoigne rarement de sa puissance. S’il tue son possesseur et celui qui pendant la danse sacrée sépare en passant le mâle de la femelle, on entend peu souvent le noir lui attribuer la mort de l’un des siens. Ce fétiche se compose de deux bois fourchus, l’un mâle, l’autre femelle, sur lesquels on sacrifie et on le voit suspendu dans la case d’entrée de son maître, avec le manteau en écorce de caïlcédra et le masque qui servent à la danse sacrée. Le masque du Tji wara est fait avec goût, c’est en fait de sculpture Bambara ce que j’ai vu de mieux. Il est taillé dans le bois du dondol (Bombax Cornui) et semble vouloir représenter un bouc ou une biche Le mâle a souvent les cornes recourbées et parfois mesure près d’un mètre de haut. La femelle est plus petite, ses cornes sont droites, des anneaux lui pendent au nez et aux oreilles et sans doute par ce qu’une déesse ne saurait-être stérile, elle porte sur le dos son petit. Durant la danse sacrée, les noirs affublés du masque et du manteau, sont courbés en deux et toujours en mouvement. De temps en temps ils beuglent dans une corne de taureau, et comme il ne peuvent se tenir droits sans manquer de respect à l’idole, ils s’allongent sur le sol ou s’accroupissent comme à quatre pattes lorsqu’ils sont las et fatigués. » (p. 144)Illustrator: R. P. Dubernet R. P. Dubernet, unreadable sign in RC. R.P. (Révérend Père) Illustration technique: b/w field photographPublication page: facing p. 144Komo ritual objects, Mali, 1966-1973Elisofon, EliotElisofon, EliotElisofon, EliotElisofon, EliotElisofon, Eliot